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Bienvenue dans Corps Vibrants !

Seances de Gestalt-therapie , musicothérapie ,  cours de percussion

Trois chemins possibles, qui se mêlent, se croisent, se reconstruisent pour mieux traverser et rencontrer  avec  confiance

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Musico-Thérapie

Seances de Musicothérapie, individuel ou en group

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Gestalt-Thérapie

Seances  de gestalt therapie en individuel

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Cours deTamburello et Tammorra et d'autres  precussions traditionelles

Cour en groupe ou en individuel de percussions et  de tambour sur cadre du sud Italie

Des chemins vers la vibration

Que ce soit par des séance de musicothérapie, une rencontre en psychothérapie Gestalt dans l’ici et maintenant, ou par l’apprentissage des tambours sur cadre, nous évoluons dans une quête de sens et de questionnement, cherchant à établir une autre  relation  au monde afin qu’il puisse se transformer – et nous avec lui. Ensemble, nous pourrons vibrer, percevoir autrement et résonner en harmonie.

Resonnances

Gestalt-Therapie Il arrive parfois que, dans notre relation à l’environnement, nous ayons subi ou subissions encore diverses formes de maltraitance, plus ou moins graves, au cours de notre développement. Face à ces agressions, nous nous construisons en cherchant les meilleures solutions pour y faire face. Cependant, il arrive que nos comportements, façonnés par la nécessité de réagir à ces agressions présentes ou passées, nous coupent de nous-mêmes, de nos émotions et des autres. Cette dissociation peut engendrer des souffrances psychophysiques profondes et multiformes. En tant que praticien en Gestalt-thérapie, mon intervention vise à co-construire une nouvelle manière d’envisager la relation aux autres, afin de retrouver une spontanéité fluide dans le contact avec soi-même et avec le monde. Cela implique d’accueillir et d’écouter la souffrance inhérente à notre existence dans un monde souvent marqué les dominations Avec une écoute empathique et bienveillante, je soutiens les aspirations vitales qui animent chaque personne. Mon rôle est d’offrir un appui pour que chacun puisse retrouver son chemin, dépasser ses impasses et vivre pleinement, en créant librement dans ce monde. Ainsi, il devient possible de le rendre plus habitable, tant pour soi que pour son entourage. La psychothérapie : un chemin vers soi Le mot psychothérapie vient du grec psyché (âme, souffle, esprit) et therapeuein (prendre soin, accompagner, soigner). Il s’agit donc de prendre soin de l’âme, dans toutes les significations que ce mot peut recouvrir : la vie intérieure, la conscience, le principe vital, la pensée, le lien à soi, aux autres et au monde. Un savoir ancestral et vivant L’histoire de la psychothérapie remonte à l’origine de l’humanité. Bien avant d’être formalisée en tant que discipline moderne, elle s’enracinait déjà dans les pratiques rituelles, chamaniques, communautaires. Aujourd’hui encore, certaines cultures perpétuent ces traditions de soin psychique en dehors du modèle occidental. Avec le temps, la psychothérapie a traversé des évolutions multiples. Elle s’est enrichie de courants variés, jusqu’à devenir une profession reconnue, encadrée par des institutions de formation, des fédérations professionnelles, et soutenue par une éthique de la relation et du soin. ________________________________________ Les grandes familles de psychothérapies Il existe une grande diversité d’approches psychothérapeutiques. Sans entrer dans tous les détails, on peut aujourd’hui distinguer quatre grands courants principaux, chacun porteur d’une vision du monde et de l’être humain : 1. Les thérapies psychanalytiques Issues des travaux de Freud, Jung, Reich ou encore Winnicott, ces approches explorent l’inconscient, les conflits internes, l’histoire infantile et les dynamiques psychiques profondes. 2. Les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) Ancrées dans les recherches scientifiques et les neurosciences, elles s’intéressent aux liens entre pensées, émotions et comportements. Leur objectif est souvent pragmatique : diminuer les symptômes, réapprendre à agir différemment. 3. Les thérapies humanistes et existentielles Inspirées de la phénoménologie, de l’existentialisme, de certaines traditions orientales et de la psychologie humaniste américaine. Elles valorisent la conscience, la liberté, l’expérience vécue, l’unité corps-esprit et les potentialités de développement de la personne. 4. Le courant transpersonnel Ce courant plus récent cherche à intégrer les autres approches, tout en ouvrant à une dimension spirituelle de l’être humain. Il s’inspire de diverses traditions mystiques et philosophiques, et s’inscrit souvent dans une perspective d’élargissement de la conscience. ________________________________________ Ce qui les relie toutes : la rencontre Au cœur de toutes ces approches se trouve la rencontre : celle d’un thérapeute avec une personne, dans un cadre sécurisé et défini, au service d’un processus de transformation. Cette rencontre, profondément humaine, est ce qui rend la psychothérapie si unique et essentielle. ________________________________________ La Gestalt-thérapie : la présence au vivant Une approche de la relation et du contact Créée dans les années 1950 à New York par Fritz et Laura Perls, Paul Goodman et d'autres collaborateurs, la Gestalt-thérapie est une méthode intégrative, humaniste et existentielle. Elle naît de la rencontre entre plusieurs courants intellectuels : – la Gestalt-psychologie allemande – la psychanalyse anglo-saxonne et les théories de l’attachement – la phénoménologie (Husserl) et l’existentialisme (Heidegger, Merleau-Ponty, Sartre) – la pensée corporelle et bio-énergétique de Wilhelm Reich – la culture critique et libertaire de l’Amérique des années 1960 Elle est à la fois scientifique et sensible, engagée et ouverte, profondément centrée sur l’expérience vivante de la personne dans le moment présent. ________________________________________ En pratique : que fait le Gestalt-thérapeute ? Le Gestalt-thérapeute accompagne la personne dans un processus d’exploration de sa manière d’être au monde : comment elle entre en relation, comment elle ressent, agit, réagit. Il ne s’agit pas seulement de comprendre les causes passées d’une souffrance, mais de revenir au présent, à ce qui se vit ici et maintenant, dans le corps, dans la relation, dans l’environnement. Le rôle du thérapeute : présence et soutien Le thérapeute est pleinement présent dans la relation. Il accueille les émotions, les blocages, les résistances, les envies, avec une posture d’écoute ouverte, sans jugement, en suspens de ses interprétations (épochè phénoménologique). Il partage sa perception, sa sensibilité, son ressenti pour soutenir la transformation du processus en cours. Il accompagne la personne à travers ses souffrances, dans un cadre sécurisant, avec délicatesse, courage et bienveillance. ________________________________________ Un travail psychocorporel et intersubjectif La Gestalt-thérapie accorde une place essentielle au corps, non comme un objet à soigner, mais comme un lieu vivant d’expérience et de sens. Le souffle, la posture, les sensations, les tensions, les gestes sont autant de voies d’accès à l’histoire intérieure et à ce qui cherche à se dire. Le processus thérapeutique est intersubjectif : il se construit dans la relation. C’est une co-création entre deux personnes présentes, engagées, ouvertes à ce qui émerge, même dans l’incertitude. ________________________________________ Pourquoi consulter ? La Gestalt-thérapie peut accompagner : – Les périodes de transition, de crise ou de deuil – Les troubles liés au stress, à l’anxiété, aux blocages émotionnels – Les difficultés relationnelles, familiales ou professionnelles – Un désir de mieux se connaître, de s’épanouir, de retrouver du sens ________________________________________ Une thérapie de transformation En Gestalt-thérapie, on ne cherche pas à « réparer » une personne mais à l’accompagner dans un chemin d’autonomie, de conscience et de liberté. Ce travail peut permettre de : ✔️ Dépasser des schémas répétitifs ✔️ Se libérer d’injonctions intériorisées ✔️ Réintégrer des expériences non digérées ✔️ Développer une présence plus pleine à soi, aux autres et au monde ✔️ Recréer du lien là où il s’était rompu

Ma peau qui vibre Depuis mon adolescence, la résonance des peaux m’habite profondément. Après plusieurs années plongé dans l’univers des percussions afro-brésiliennes – explorant les instruments des batucadas, étudiant les congas et découvrant la culture de transe des Orishas – je redécouvre à 21 ans la tradition du tambour sur cadre du sud de l’Italie. Cette révélation survient à Bruxelles, grâce à ma rencontre avec la musicienne Emanuela Lodato, et se poursuit à travers l’enseignement de Massimo La Guardia, Nando Brusco et Andrea Piccioni. Mon exploration s’élargit ensuite au vaste univers du tambour sur cadre du Moyen-Orient, grâce aux précieuses transmissions de Glen Velez, Zohar Fresco et Murat Coskun, entre autres. Pendant plusieurs années, je vis au sud de la France, où je m’imprègne de la culture musicale occitane, des rythmes et des mélodies qui animent les balètis . Je me rapproche également du monde gitan et des rythmiques du flamenco, en développant ma maîtrise du cajón. Un style personnel et une approche unique Mon style musical, personnel et unique, se nourrit d’un riche mélange d’influences, façonné par la diversité des enseignements reçus et les multiples rencontres qui ont jalonné mon parcours. Mais un fil rouge traverse toujours cette aventure : la dimension corporelle de la vibration, qui résonne en moi et se transmet à ceux qui m’écoutent. Dans cette quête perpétuelle d’approfondissement de la conscience musicale issue de la tradition orale, je développe une véritable passion pour l’enseignement et la transmission. Peu à peu, j’affine ma propre méthode pédagogique. Une pédagogie ancrée dans le corps Inspirée par mon propre cheminement et par les enseignements reçus, ma pédagogie repose sur le développement progressif de la conscience psychocorporelle et sur la relation intime entre le corps, l’instrument et le son. Lorsque la peau du tambour est touchée par celle du musicien, une vibration naît, se propage et prend vie. Cette relation complexe entre ma peau, celle du tambour et le son qui vibre se construit progressivement à travers l’incorporation des rythmes par le chant des onomatopées, ainsi que par l’ancrage de la pulsation dans les jambes. Ces outils permettent de libérer les blocages psychocorporels, qui apparaissent inévitablement lors de l’apprentissage d’un instrument de musique – en particulier un instrument à percussion. Mon approche vise ainsi à relier profondément le musicien à son instrument, pour que la musique ne soit pas seulement jouée, mais véritablement ressentie, intégrée et vibrante.

Tamburello et Tammorra : Les cours Les tambours sur cadre sont des instruments ancestraux, répandus depuis des millénaires dans presque toutes les cultures, du Maghreb au Moyen-Orient, de l'Espagne à l'Europe du Nord, de la Grèce jusqu'à la Mongolie et l’Inde. Ils ont pris de nombreuses formes et noms différents et ont joué un rôle essentiel dans la vie culturelle de nombreuses civilisations. Le Tamburello et la Tammorra sont des instruments traditionnels du sud de l’Italie (Campanie, Calabre, Pouilles, Sicile). Leurs origines se perdent dans la mythologie. Il est certain qu’un petit tambour sur cadre avec des cymbalettes était déjà utilisé en Magna Graecia (notamment dans les Pouilles et l’est de la Sicile) lors des célébrations de Dionysos, dieu du vin, de la folie et du théâtre. Ces instruments ont traversé les siècles et sont toujours présents aujourd’hui dans les fêtes de village en Calabre et dans les Pouilles, ainsi que lors de grands festivals mettant à l’honneur les cultures de ces régions, où la mondialisation n’a pas encore réussi à effacer leur énergie envoûtante. À qui s’adresse le cours ? Le cours est ouvert à toute personne souhaitant découvrir ces instruments et leurs traditions. Il n’est pas nécessaire d’être musicien ou d’avoir une expérience instrumentale préalable. Pour ceux qui possèdent déjà une certaine maîtrise, les séances seront organisées de manière progressive, afin que chacun puisse profiter pleinement de l’enseignement, qu’il soit débutant ou avancé. Nous aborderons ces instruments à travers leurs multiples potentialités expressives, avec une attention particulière à la posture et à la respiration. Nous explorerons l’ensemble des sons et des techniques de frappe, des plus traditionnelles aux approches contemporaines. Tout au long de l’année, nous nous plongerons progressivement dans les rythmes traditionnels du sud de l’Italie. Nous étudierons ainsi les différents styles et figures du vaste univers de la tarentelle : •Sicilienne •Calabraise •Montemaranese •Pizzica •Saltarello •Tarantella del Gargano Nous explorerons également l’univers de la Tammurriata, avec ses multiples variantes et styles d’interprétation. Ouverture aux rythmes du monde Nous nous familiariserons aussi avec les rythmiques du Moyen-Orient, telles que le Maksum, le Malfuf et le Ciftetelli. Cela nous permettra d’aborder des techniques de frappe orientales et différentes postures de jeu. Dans un second temps, nous nous ouvrirons aux rythmes impairs (5, 7 et 9 temps). La pratique de la polyrythmie nous aidera à assimiler ces différentes formes rythmiques, en nous appuyant sur le solfège rythmique parlé issu de la tradition indienne du Konnakol, combinant onomatopées et gestes corporels pour mieux intégrer les rythmes. Nous explorerons également d’autres traditions rythmiques, notamment : •Les rythmes occitans, comme la burée à deux ou trois temps •Les rythmes brésiliens, comme le samba et le maracatu, l’Afoxé •Plus tard, nous aborderons les rythmes complexes du flamenco, où binaire et ternaire se mêlent dans une construction créative. La dimension collective Dans l’apprentissage de la percussion – et plus largement de tout instrument de musique – le groupe joue un rôle fondamental. Il ne s’agit pas seulement d’un cadre d’apprentissage, mais d’un véritable espace d’échange et de construction musicale. D’une part, jouer en groupe nous confronte à la dimension relationnelle de la musique. Cela nous amène à interagir avec les regards et les sons des autres, faisant du groupe un socle essentiel sur lequel s’appuyer pour développer notre propre expression musicale. Il nous soutient et nous enrichit dans notre jeu individuel. Lors des cours collectifs, nous travaillerons la polyrythmie, c’est-à-dire l’exécution simultanée de plusieurs rythmes. Cet exercice affûtera notre perception corporelle des nuances rythmiques, nous permettant d’explorer les différentes strates de construction musicale et les nombreuses possibilités créatives qu’elles offrent. Nous nous exercerons également à intégrer la polyrythmie au sein même du jeu individuel : chanter un rythme, en jouer un autre et marquer la pulsation avec les pieds. Cette pratique de l’attention divisée transformera notre perception musicale et constituera un élément clé dans le développement de la créativité. Enfin, grâce au soutien du groupe, nous expérimenterons des jeux d’échanges et de réponses créatives, en formant des dialogues entre plusieurs sous-ensembles. Ce travail nous permettra d’aborder le tambour au-delà des codes traditionnels, ouvrant ainsi la voie à une approche contemporaine et vivante de l’instrument. Création et improvisation Enfin, s'il est possible d’y mettre une limite, nous explorerons la création artistique à travers des performances en solo avec le tambour sur cadre. L’objectif sera de faire émerger chez chaque élève sa propre singularité, en cultivant un style personnel et unique. Développer son identité artistique ne se résume pas à la simple maîtrise des rythmes, des techniques de frappe ou de la conscience corporelle de la pulsation, bien que ces éléments soient essentiels à l’épanouissement de l’improvisation en solo. Pour qu’une improvisation au tambour prenne vie, l’essentiel est avant tout de laisser émerger une histoire personnelle, ressentie profondément dans son corps. Il ne s'agit pas seulement de jouer, mais d’avoir quelque chose à partager avec l’autre. Chacun aura l’opportunité de façonner sa propre esthétique musicale, dans un cadre bienveillant, propice à l’accompagnement et au soutien. Ce travail demandera de se remettre en question, d’oser sortir de sa zone de confort et d’apprendre à s’exposer face aux autres avec créativité et détermination. Une approche pédagogique à l’écoute de chacun En tant que musicothérapeute et praticien en Gestalt-thérapie, j’ai pleinement conscience de la dimension relationnelle et affective qui se joue dès lors que l’on décide d’apprendre un instrument de musique. C’est pourquoi je m’engage à être à l’écoute des besoins de chacun, dans la mesure du possible, et à accompagner avec bienveillance les éventuelles difficultés qui peuvent émerger dans la relation à cet instrument. Simple dans sa facture, mais exigeant à faire résonner pleinement, il peut parfois déconcerter. Tout au long de l’apprentissage, je veillerai à soutenir la curiosité de chaque participant, afin que l’enthousiasme de la découverte de cet instrument ancestral puisse toujours se transmettre et s’épanouir. De temps en temps, des éléments de la culture traditionnelle seront transmis à travers des vidéos et extraits musicaux issus des traditions du sud de l’Italie. Bienvenue à toutes et à tous !

Gestalt-thérapie et engagement politique

Je suis dans le monde depuis le tout premier frémissement de cellule, depuis l’aube silencieuse de mon existence dans le ventre maternel. Depuis ce jaillissement dans la lumière, je participe à cette réalité commune qui nous enlace tous. Elle me façonne : corps vivant, corps vibrant, corps percevant.

Cette réalité est habitée par une infinité d’êtres — humains, vivants, non-vivants — une trame de présences avec lesquelles je coexiste. À la suite de Merleau-Ponty, je pressens qu’habiter le monde, c’est le rencontrer, s’y engager, y laisser son empreinte et s’y laisser toucher. Se relier au réel, c’est se transformer. Notre chair s’ajuste, se modèle au gré des liens tissés avec le vivant, avec l’inerte, avec l’autre. Et le monde, lui aussi, se transforme à notre contact.

Je et le monde : deux formes, deux agencements, mais une même matière. Nous sommes issus des mêmes sources, faits de la même étoffe. Chaque rencontre est un échange, une altération réciproque, une métamorphose partagée.

En cela, la Gestalt-thérapie porte dès ses origines une implication politique profonde. Elle ne peut être neutre. L’un de ses fondateurs, Paul Goodman, s’en fit le témoin par ses engagements anarchistes. Car reconnaître que nous façonnons et sommes façonnés par le monde, c’est embrasser la responsabilité de choisir la direction de cette transformation.

En tant que praticien de la Gestalt, j’œuvre dans le monde avec pour horizon l’émancipation, la floraison d’une diversité infinie de formes de vie. J’aspire à un monde où les existences multiples, singulières et collectives, puissent éclore et se mêler dans un enrichissement commun, soutenues par la danse permanente de nos rencontres transformatrices.

Je ne peux que m’incliner du côté de ceux qui œuvrent à cette ouverture : je soutiens les mouvements sociaux, les corps insurgés, les voix multiples qui défendent la richesse relationnelle, la co-participation active à la création de notre réalité. Je choisis les formes politiques qui s’ancrent dans la co-construction directe, vivante, immédiate de notre monde partagé.

Et parce qu’il y va de notre lien à la vie, j’affirme avec clarté mon refus de tout système — social, politique, économique — qui détruit les diversités, assèche les liens, et enferme l’individu dans l’illusion d’une séparation. Je m’oppose, avec constance et ferveur, à tout ce qui nous éloigne d’une participation créatrice, sensible et écologique à notre monde commun.

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